Nom du blog :
espoiresperance
Description du blog :
Blog traitant de la santé, du bien-être, la famille, le couple et autres.
Catégorie :
Blog Société
Date de création :
29.04.2012
Dernière mise à jour :
09.05.2016
>> Toutes les rubriques <<
· Santé, viande et végétarisme (15)
· Couple (5)
· Recettes (1)
· ALLAITER OU PAS ? (3)
· Catastrophes, guerres (1)
· Environnement (1)
· Contes, histoires (0)
· Espoir (0)
Accueil
Gérer mon blog
Créer un blog
Livre d'or espoiresperance
Contactez-moi !
Faites passer mon Blog !
· Ne laissez pas vos amitiés briser votre couple !
· La vie d'un veau… et de sa mère…
· L'avis des grands de ce monde sur la consommation de viande
· Votre couple risque-t-il de se séparer?
· Le miracle de l'appréciation dans le couple
· Votre physique dérange-t-il votre conjoint ?
· La compassion et l'alimentation éthique
· Mais que se passe-t-il dans le monde?
· Couscous tunisien version végétarienne
· La viande et votre santé
· COMMENT INTÉGRER PLUS DE VÉGÉTAUX QUAND ON EST "CARNIVORE"
· Un hôpital américain révise sa vision sur le cancer
· Yves Rocher fait sa part pour la planète
· Donnez le meilleur à votre bébé: votre lait !
· ALLAITER OU PAS ?
amis amour animaux anniversaire annonce article background bébé belle belle image blog bonne
Derniers commentairesthank you for your blog article. great. dddgkbdfedcaak df
Par Smithg837, le 12.09.2015
Vous pensez au divorce?
Avant de faire ce pas, sachez que la grande majorité des divorces auraient pu être évitée.
Le divorce ne devrait pas être considéré si toutes les autres alternatives n'ont pas été essayées.
Rappelez-vous que la personne avec laquelle vous voulez divorcer aujourd'hui est la même que celle avec qui vous avez fait le sermon de vous lier pour la vie. Vous lui avez trouvé beaucoup de qualités, vous l'avez aimée au point de ne pas imaginer la vie sans elle. N'oubliez pas tout cela et dites-vous qu'il n'est jamais trop tard pour sauver votre couple peu importe les apparences. Si l'harmonie et l'amour régnaient dans votre couple autrefois, ils peuvent autant le faire aujourd'hui.
Cessez de vous en vouloir l'un à l'autre, de vous accuser mutuellement et de chercher à qui est la faute de vos malheurs. Ce n'est certainement pas de cette façon que vous règlerez les problèmes. Apprenez à écouter et à comprendre l'autre, apprenez à laisser l'autre parler et ne pas le couper. Apprenez à admettre vos erreurs, travaillez sur vous-même car pour créer une chicane ça prend deux personnes. Prenez du temps juste pour vous deux, non pas pour vous chicaner mais pour se dire ce que vous aimez chez l'autre plutôt que ce que vous n'aimez pas. Passez du bon temps ensemble, rappelez-vous votre amour et ensuite la communication sera plus facile pour régler les différends. Faites des surprises à l'autre et apprenez à apprécier chaque petit geste qu'on fait envers vous que ce soit de votre conjoint(e) ou des autres.
Bref, ce n'est pas par des reproches, par des paroles blessantes, par des plaintes ou des crises que vous éloignerez le divorce. Faites preuve de bon sens, d'amour, de compréhension. Dites les vraies choses mais toujours avec amour. Oui c'est possible! Pensez-vous que les couples qui ont passé toute leur vie ensemble sans jamais penser au divorce réglaient leurs mésententes par des paroles agressives, provocatrices, accusatrices ou encore par des gestes peu louables? Bien sûr que non! Aucun couple ne peut durer en utilisant ces armes destructrices. Alors pensez-y et si vous avez envie de me dire "oui mais même si je fais ça mon conjoint lui (ou elle) ne va jamais agir pareil ..." je vous dis occupez-vous de votre comportement d'abord. Votre comportement et votre attitude auront un effet positif sur les siens. Faites ce que vous pouvez, agissez toujours avec sagesse, ça ne peut certainement pas faire du mal à votre couple. Faites preuve de patience car changer demande du temps, de la pratique et une bonne foi. Ne vous découragez pas, vous pouvez donner une seconde vie à votre couple, faites preuve de persévérance. Un jour vous direz: je n'arrive pas à croire qu'on a déjà pensé au divorce!
Votre couple risque-t-il de se séparer?
Avez-vous remarqué à quel point de nos jours il devient facile pour les couples de se séparer ?
Si vous vous sentez concernés ou si vous craignez que cela vous arrive, lisez ce qui suit.
Prenez votre temps
Si vous ne prenez pas le temps de bien choisir votre partenaire cette relation sera sûrement vouée à l'échec. Parfois on est tellement pressé et excité d'avoir un amoureux qu'on se jette trop vite dans une relation avant même de bien connaître son partenaire. Prenez votre temps avant de vous engager dans une relation de couple.
Choisissez votre partenaire pour les bonnes raisons
Combien de personnes choisissent leur partenaire selon ses caractéristiques physiques, sa situation financière, pous son réseau de contacts ou pour toute autre raison superflue ? Il y en a bien trop. Est-ce cela que vous appelez les bases dans un couple. Est-ce sur ce genre de bases que vous comptez construire un couple qui dure ? Bien sûr que non ! Si vous vous reconnaissez dans ce genre de choix il faudra d'abord changer votre perception des choses. Prenez conscience de ce qui est vraiment important dans la vie de couple. Ne vous laissez pas entraîner par le manque de valeurs et de sagesse qui sont la mode dans notre société actuelle.
L'amour, le respect, la complicité, la compréhension, la confiance et j'en passe, sont là les vraies bases dans un couple solide. Leur absence mène tout droit au démantèlement du couple. Et leur présence vous permettra de travailler sur les autres points du couple sans avoir peur qu'il s'effondre, puisque vous avez la base.
Ne soyez pas égoïste et individualiste
La mode de nos jours est de laisser son partenaire parce qu'il ne fait plus notre affaire. Il ne répond plus à nos besoins. Il ne nous satisfait plus. Alors on le laisse et on va chercher autre chose qui pourra mieux nous satisfaire. Non mais de quoi parle-t-on ici ? D'un partenaire de vie ou d'un torchon?? L'amour c'est d'abord chercher le bonheur de l'autre avant le sien. L'amour c'est d'abord donner avant de recevoir ! Comment pouvez-vous faire durer votre couple si vous ne pensez qu'à vous ? Qu'à VOS besoins, VOS soucis, VOTRE bonheur...? Essayez de penser aux besoins de votre partenaire, de l'aider à affronter ses mauvais jours, à se réaliser, à améliorer sa situation. Vous verrez à quel point tout cela vous reviendra inévitablement. Imaginez un peu si tous les couples font cela entre eux? Une chose est certaine, il n'y aurait pas autant de divorces et de familles recomposées. De femmes malheureuses et de cœurs brisés.
Bref, pour avoir un couple solide arrêtez de vous attarder à ses branches et assurez vous que ses racines soient bien solides. Sinon le moindre souffle de vent le fera tomber.
La compassion, 3e pilier d’une alimentation éthique
Le mois dernier, une équipe britannique a réalisé un des plus dramatique et dangereux sauvetages jamais réalisé au Royaume-Uni , selon le Daily Mail. Un fou de Bassan s’est retrouvé coincé contre une falaise à plus de 3000 pieds du sol, le bec accroché à une ligne de pêche.
Trois secouristes ont risqué leur vie et travaillé d’arrache-pied pendant quatre heures pour sauver le malheureux. Après avoir été examiné par un vétérinaire, l’oiseau a été libéré et est allé rejoindre ses 200 000 congénères qui passent l’été dans la région, au plus grand plaisir des ornithologues.
Si on demandait aux sauveteurs du fou de Bassan ce qui a motivé leur décision de risquer leur vie pour venir en aide à un oiseau, ils répondraient probablement qu’ils n’ont pas vraiment réfléchi : ils ont simplement agit par compassion. Si l’on en croit l’étymologie, ils auraient donc souffert avec l’oiseau.
Compassion sélective…
L’histoire est touchante. Mais comment se fait-il qu’on s’émeuve et qu’on risque sa vie pour un fou de Bassan alors que des milliards d’oiseaux sont tués chaque année pour leur viande dans l’indifférence quasi totale ? Qu’est-ce qui fait qu’on éprouve de la compassion pour certains animaux et qu’on continue de manger les autres ?
Un peu de psychologie va nous aider à comprendre tout ça. Nous avons deux façons d’appréhender la réalité, de prendre des décisions. Une première est émotive, intuitive, automatique et immédiate. L’autre est délibérative, analytique, rationnelle et demande un effort. Et bien que l’analyse soit importante au moment de prendre une décision, on a tendance à se fier à nos émotions et nos intuitions quand vient le temps d’agir rapidement – ce qu’ont fait les sauveteurs de notre fou de Bassan. En général, on ressent d’abord des émotions et la raison vient ensuite valider nos intuitions. Sans déclencheur émotif, difficile d’avoir de la compassion (il y a « passion » dans le mot, n’est-ce pas?).
Et ces émotions, comment naissent-elles ? Par les images au sens large (ce qui incluent le produit de l’imagination et les mots) et par l’attention portée à un sujet. Or, il est facile d’être attentif à un sujet unique comme notre fou de Bassan ou un enfant dont on connaît le prénom. En revanche, on perd facilement son intérêt émotif pour un grand groupe ou des sujets abstraits, comme les millions de personnes qui meurent de faim ou les milliards d’animaux exploités pour leur viande. Bref, nous avons évolué de façon à porter secours à un enfant qui se noie devant nous, mais pas à sauver tout un continent.
C’est ce qu’explique le psychologue américain Paul Slovic dans son excellent article If I look at the mass I will never act (1). Il y présente notamment les résultats d’une étude qui montre qu’on serait beaucoup plus généreux envers une personne identifiée qu’envers des victimes anonymes.
Mais le plus surprenant, c’est qu’on va moins donner à une personne identifiée si on nous la présente avec des données chiffrées. Notre esprit analytique calme nos émotions. Trop réfléchir nous empêche d’agir. Si Mère Térésa avait calculé le nombre de lépreux, de sidéens et de tuberculeux à soigner, elle n’aurait sans doute jamais ouvert de clinique.
D’un point de vue moral, on ne peut pas justifier que notre compassion s’arrête à nos voisins, à des victimes dont on connaît le prénom, à nos animaux domestiques ou à ceux dont le sauvetage sera spectaculaire. On ne peut donc pas se fier uniquement à nos intuitions pour agir moralement. Notre système délibératif devrait entrer en jeu. Lorsqu’on choisit ce qu’on met dans son assiette pour souper, on doit le faire avec sa tête.
Des pistes pour aller plus loin
Voici quelques pistes pour rendre un peu plus concrète la vie des animaux qu’on achète enveloppés dans de la pellicule plastique et nous aider à développer de la compassion à leur endroit, même si le geste n’a rien de spectaculaire :
L’excellent essai de Jonathan Safran Foer Faut-il manger les animaux? Il y décrit avec finesse et sensibilité les élevages américains qui sont malheureusement bien semblables aux nôtres.
Les fiches qu’a rédigées la Coalition canadienne pour la protection des animaux de ferme sur chaque espèce exploitée chez nous.
De nombreux vidéos sur Internet décrivant l’exploitation industrielle; celui-là narré par Paul McCartney est particulièrement bien fait.
Un panorama de l’élevage au Québec dressé par La semaine verte à l’occasion du 40e anniversaire de l’émission. Un documentaire à voir absolument.
Source: http://www.mangersantebio.org/3591/la-compassion-3e-pilier-dune-alimentation-ethique
Donnez le meilleur à votre bébé:votre lait !
Je regarde autour de moi et je n'arrive pas à croire que nous sommes au point de devoir sensibiliser les mères àl'allaitement . Ce geste si naturel et qui allait de soi autrefois, est maintenant perçu comme facultatif. L'allaitement est maintenant une question de choix pour les mères. Si elles n'ont pas envie d'allaiter, elles ne le font pas. Les compagnies de produits laitiers vous font croire qu'un lait de vache peut remplacer le lait maternel et beaucoup d'entre vous tombez dans le piege. Ce n'est pas pour rien qu'une maman a du lait après la naissance de son bébé, c'est parce que celui-ci en a grandement besoin. En fait, c'est tout ce dont il a besoin pour se nourrir à sa naissance. Si vous saviez les richesses que contient le lait d'une mère vous voudriez l'allaiter le plus longtemps possible!
Le mode de vie de l'Homme change. Dans certains cas c'est pour le mieux et dans d'autres (bien d'autres) pour le pire. Voyez les conséquences des choix de l'Homme sur la terre. On meurtrie notre planete, on se fait du mal les uns envers les autres, on se fait du mal à soi-même et cela entraîne les maladies comme le cancer (qui était rare autrefois) et les types de cancer n'arrêtent pas de se manifester. Pensez-vous que c'est le hasard tout cela ? Non! Ce sont les conséquences de nos choix. Quels que soient les choix, qu'ils soient petits ou grands, ceux-ci ont des conséquences. L'allaitement fait partie de ces choix que certaines mères prennent à la légère ou bien parce qu'elles ignorent son importance. Pourquoi priver son enfant d'une source incomparable et irremplaçable de protection de base contre toutes les déficiences physiques dont, entre autres, un faible système immunitaire? L'allaitement aura des incidences positives sur toute la durée de vie de votre enfant, pourquoi l'en priver?
J'ai parlé des bienfaits de l'allaitement sur la santé de votre enfant mais il n'y a pas que les effets physiques. Quand une mère allaite son bébé, les liens affectifs qu'elle développe avec son enfant sont incomparables sans oublier les bienfaits sur l'état mental de la mère.
La chèvre donne son lait à son enfant. La guenon donne son lait à son enfant, l'humain est le seul à donner le lait d'un animal à son enfant plûtot que le sien, qui est pourtant naturellement fait pour lui.
De grâce, donnez le meilleur à votre bébé. Le meilleur!
La vie d'un veau… et de sa mère…
Le tout petit veau est arraché à sa mère quelques jours seulement après sa naissance pour que les humains puissent consommer le lait qui lui était destiné. Comme toutes les femelles mammifères, si la vache n’a pas de veau elle ne produit pas de lait. La séparation affective est évidemment ressentie douloureusement par les deux et leur détresse dure plusieurs jours.
Le veau séparé de sa mère est ensuite enfermé dans la pénombre, enchaîné dans un boxe exigu dans lequel il ne peut même pas se retourner, sur des lattes en bois, sans paille. 100 jours plus tard pour lui c’est déjà la fin. Il arrive à peine à marcher… pour aller à l’abattoir. Il n’aura connu ni la lumière du soleil, ni la prairie, ni la joie de gambader, ni compagnons de jeux. Sa viande, obtenue très blanche par l’immobilité, la pénombre, et par une nourriture essentiellement à base de lait, est destinée à la consommation humaine. Son cuir sera utilisé en peausserie pour fournir un cuir fin, en ganterie ou bagagerie par exemple.
Les plus faibles de ses congénères auront été abattus dès leur naissance pour extraire la présure appelée "caillette" contenue dans leur estomac. La présure est utilisée dans la fabrication de presque tous les fromages. Leur viande sera utilisée pour la fabrication d’aliments pour animaux.
Les veaux femelles sélectionnés pour la production laitière, connaitront le même parcours que leur mère, soit trois années d’exploitation intensive, de gestations obligatoires et ininterrompues, le plus souvent par insémination artificielle, pour fournir un maximum de lait.
Les génisses, jeunes vaches, finiront plus tôt à l’abattoir pour y fournir leur viande et le "célèbre" foie de génisse.
Un très petit nombre de veaux mâles seront sélectionnés pour être taureaux reproducteurs auxquels on soutirera artificiellement la semence.
Les autres veaux destinés à fournir la viande de boeuf premier choix seront castrés, devenant ainsi des boeufs ou des "broutards". Certains d’entre eux auront le rare privilège de connaitre les pâturages durant quelques années. Ce sont ces troupeaux de "privilégiés" que l’on peut encore voir dans les prairies à la campagne.
Ne nous leurrons pas, de plus en plus rares sont les exploitations fermières respectueuses du bien-être de leurs animaux et dont les fermiers mènent encore leurs vaches laitières en pâturage. Ces petites exploitations laitières, nécessitant une présence constante et un travail très contraignant, n’étant de surcroît pas très rentables, finissent par disparaître les unes après les autres.
La plupart du temps en enclos sous les hangars des grandes fermes industrielles, gavée d’antibiotiques et autres drogues, ainsi que de suppléments nutritionnels, la vache laitière, véritable "usine à lait", ne connaitra guère plus que son veau les joyeuses gambades en prairie et le soleil. Elle sera contrainte à produire du lait, encore et encore, jusqu’à 6000 litres par an. Les mamelles hypertrophiées, lorsqu’elles sont pleines de lait peuvent peser jusqu’à 50 kgs. Ceci engendre souvent des mammites douloureuses, compliquées parfois de kystes purulents (avec apparition de pus dans le lait) qu’il faut traiter à coup d’antibiotiques.
Ainsi, après 3 années d’emprisonnement et de souffrances, alors que son espèrance de vie est d’environ 20 ans, elle aussi sera envoyée à l’abattoir pour finir comme "viande de boeuf".
Ayons une petite pensée pour eux lorsque dans un magasin nous abordons les rayons viande, lait, beurre, crème fraiche, les 365 fromages, les innombrables yaourts, les boissons au lait, les desserts lactés "délicieux", les "exquises" glaces …
Source: http://blogs.vegetarisme.fr/blog/2009/06/20/la-vie-dun-veau-et-de-sa-mre/
Pourquoi allaiter?
Non seulement le lait maternel est biologique mais il est aussi naturellement conçu pour votre enfant. Le lait est adapté aux besoins physiques du bébé.
Saviez-vous que le lait maternel s’adapte à la croissance de votre enfant? En effet, ses composants changent avec la croissance de votre bébé afin de répondre aux besoins précis de chaque période de son développement.
Peut-être que vous ne le savez pas encore mais le lait maternel a un effet merveilleux et magique sur le système immunitaire de votre bébé, il le protège contre les maladies. Votre bébé aura des anticorps fabriqués naturellement pour le protéger contre des infections de toutes sortes grâce au lait maternel.
L’allaitement exclusif pendant les 6 premiers mois de la vie de votre bébé est recommandé par l’Organisation mondiale de la Santé.
Pour celles qui hésitent encore, sachez que si vous allaitez 3 mois, 2 mois, 1 mois ou même une semaine c’est mieux que rien du tout. Chaque allaitement fait une différence dans la vie et sur la santé de votre enfant. Mais je vous conseille fortement d’allaiter votre bébé le plus longtemps possible et n’oubliez pas que l’allaitement est un moment très privilégié entre la maman et son enfant et développe un lien affectif unique entre les deux.
J'allaite ou pas?
On ne peut nier que les premières semaines avec un nouveau-né sont éprouvantes physiquement et nerveusement. Le manque de sommeil dû aux réveils nocturnes du nouveau-né est aussi une grande source de fatigue...
Cette fatigue est surtout importante les premières semaines. Or, le plus fréquemment,l'allaitement en France ne se prolonge pas au-delà de ces premières semaines. Ce qui fait que la période d'allaitement coïncide avec la période de plus grande fatigue, et que l'on peut donc croire que c'est l'allaitement qui en était la cause.
Une douce détente... à ne pas confondre avec la fatigue !
On le croit d’autant plus que l'allaitement provoque chez la mère un état de détente, de douce somnolence, qu'on peut confondre avec de la fatigue. Alors que c'est tout le contraire : une vraie séance de relaxation !
En effet, l'ocytocine, une des deux principales hormones impliquée dans la lactation (produite également pendant l'orgasme, lors d'un massage corporel, d'un bon repas entre amis.) a une action remarquable sur la physiologie : elle provoque un état de « relâchement physiologique » caractérisée par le ralentissement du rythme cardiaque et de la respiration,la baisse de la tension artérielle, et même une action antalgique.
La hausse du taux de prolactine serait quant à elle responsable de l'augmentation du temps de sommeil profond constatée chez les femmes allaitantes par une étude faite en 2002, qui a comparé des femmes allaitant exclusivement, des femmes nourrissant leur bébé au lait industriel, et des femmes non enceintes et non allaitantes constituant le groupe témoin.
Alors que le temps total de sommeil et la durée du sommeil paradoxal étaient proches dans les trois groupes, le temps de sommeil profond (qui est le plus réparateur) était plus élevés chez les femmes allaitantes (182 minutes) que chez les femmes non enceintes et non allaitantes (86 minutes) et que chez celles donnants le biberon (63 minutes).
Contrairement aux a prioris, les femmes qui allaitent dorment donc mieux que celles qui n'allaitent pas ! S'il était vrai que l'allaitement fatigue, son arrêt devrait logiquement diminuer cette fatigue.Une étude de 1998 s'est justement intéressée à la fatigue chez des mères primipares pendant les neuf premières semaines du post-partum.
Le niveau de fatigue était modéré juste après la naissance, il culminait à 3 semaines, puis diminuait ensuite nettement entre 3 et 6 semaines.Notons qu'il n'existait de ce point de vue aucune différence entre les mères qui avaient entre temps arrêté d'allaiter et celles qui allaitaient toujours.Plus en forme et moins stressée...
Sans qu'on sache encore quelles sont les explications (facteurs hormonaux, psychologiques
ou autres), les femmes allaitantes semblent bénéficier d'un état de santé supérieur
à la moyenne.
Dans une étude parue en 2000, 168 mères en cours d'allaitement et 65 mères ayant sevré leur enfant ont été interrogées, entre 4 et 208 semaines post-partum, sur le plan des maladies dont elles avaient éventuellement souffert pendant leur allaitement.
On a observé une moindre fréquence de consultations pour fièvre ou pour maladie, et un niveau de stress plus bas. Plus la période de l'allaitement était longue, moins la femme avait présenté de maladies pendant la durée de l'allaitement, et plus son niveau de stress avait été bas pendant cette période. L'allaitement était lié à un meilleur état de santé pendant toute sa durée, ainsi que tout au long des mois qui suivaient le sevrage.Une meilleure gestion du stress...
Une recherche du Centre de recherche de l'hôpital Douglas a révélé que les mères qui allaitent réagissent moins vivement aux situations stressantes que celles qui donnent le biberon, et auraient en conséquence une meilleure capacité à s'occuper de leurs enfants.
Pensez à la santé de votre bébé...Sachez enfin que votre lait est le mieux adapté pour votre bébé car il contient des anti-corps qui renforcent les défenses immunitaires de bébé.
Source: http://www.enceinte.com/article_info/1/grossesse/naissance/j_allaite_ou_pas.html
Le miracle de l'appréciation dans le couple
Combien d'entre vous appréciez ce que fait votre partenaire de vie pour vous ? Pas beaucoup. Et pourtant, l'appréciation a des effets si importants sur la longévité et le bonheur du couple.
« Ne peut-on pas simplement mieux traiter les animaux ? »
Le nombre astronomique d'animaux élevés et tués pour la consommation rend absolument impossible un contrôle permettant de leur garantir un traitement décent.
Mais imaginons que ce soit possible : accepteriez-vous d'être tué pour être mangé si l'on vous promettait un traitement « décent » avant votre mise à mort ?
http://www.petafrance.com/vegkit/meat.asp